Les pubs et lieux lesbiens et LGBTQIA+ sont des lieux plateforme de rencontre essentiels pour la communauté. Ils font partie de l’histoire de l’ensemble des personnes queer et ils existent depuis maintenant plusieurs décennies.



À la folie


Festival bear, bingo drag, brunchs kids-friendly, soirées trans, backroom afin de les soirées Mustang, pique-niques «zérophobies», tournois de pétanque ou expériences naturopathique… à la folie sait être aussi several los cuales la communauté, et c’est ce qui fait mouche. Elle est autant diurne que nocturne, aussi hétéro que gay ou lesbienne, aussi cisgenre que transgenre. Toutefois, A La Folie est aussi devenu en quatre ans d’existence un rendez-vous sûr « safe place » pour de nombreuses personnes LGBT+.



Los Angeles Java


«Los Angeles Java est un nightclub parisien du quartier de Belleville, située 105, rue du Faubourg du Temple dans le 10e arrondissement, au sous-sol de la galerie « ce Palais du business ». Créée en 1923, cette salle était alors un dance, parmi les plus réputés de la capitale. La salle a accueilli surtout Django Reinhardt, Jean Gabin, Fréhel et les débuts de Maurice Chevalier et Édith Piaf. Après s’être spécialisée dans la musique latino, La Java s’est tournée vers la musique électronique.»



Cabaret Sauvage


«A travers sa programmation très diversifiée, le Cabaret Sauvage accueille des artistes venus des quatre coins du monde, pour des shows, des nuits électro, latines, des spectacles de cabaret, des bals, du cirque… Un mélange les styles et les gens. Velours rouge et bois ciselé, dining tables et banquettes, lumières et miroirs biseautés, parquet, piste de danse circulaire, Il accueille ce spectateur dans un lieu qui est le sien. Et aux beaux jours, il ouvre sa grande terrasse surplombant le canal.»



Le Bar’Ouf


Ce bar lesbien ouvert à l’ensemble de et tous propose des apéros-concerts, des expositions et des jeux de société.



Bonjour Madame


«Bar culturel et militant avec des shows, des expositions, des débats de société, des rencontres littéraires, des pub quizz, des soirées festives… On y parle surtout féminisme, écologie, post-colonialisme, droits LGBTQIA+.»



Gaîté Lyrique


Au cœur de Paris, la Gaîté Lyrique est un lieu média et celle-ci parle des societies post-Internet. Ces pratiques artistiques, d’ordinaire numériques, nées et transformées par online, sont ici exposées, mais aussi imaginées, fabriquées, expérimentées et transmises. Espace de découverte pour comprendre notre époque virtualisée, c’est aussi un lieu de fête, de créativité et de partage.



Mutinerie


«Los Angeles Mutinerie est un bar féministe level et afin de les meufs, gouines, biEs, queer et/ou trans. Nous sommes un collectif auto-gestionnaire composé de gens queer (meufs et trans). Nous nous efforçons de continuellement améliorer nos problems de travail tout en faisant vivre le bar, en nous assurant qu’il reste en permanence le plus accessible feasible (prix bas, aucune soirée payante, etc.). Donc voilà comme ça tu sais.»

AUXILIADORA GIL RODRÍGUEZ

Natural de Sevilla, realiza sus estudios musicales en el C.S.M. «Manuel Castillo» de dicha ciudad, donde obtiene el Título Superior de Piano, bajo la dirección de Ana Guijarro, y el Título de Música de Cámara. Máster en “Patrimonio Musical” por la UNIA en 2013 y doctora en Historia del Arte por la Universidad de Sevilla en 2019. En 2020 ha sido premiada con el accésit en la modalidad de Arte del concurso de monografías Archivo Hispalense.

Desde 1992 es profesora titular de Piano y compagina la docencia con la actividad concertística, con especial interés en el repertorio de música de cámara. Como solista, así como con diversas formaciones camerísticas, ha ofrecido recitales en diversas ciudades de España, Italia y Holanda. En 2015 interpretó el Concierto para Piano y Orquesta nº 1 de Manuel Castillo con la OSC bajo la dirección de Juan García Rodríguez.

Entre otras publicaciones, es autora de: “El Concierto para piano y orquesta nº 1 (1958) de Manuel Castillo (1930-2005). Punto de partida para una aproximación a su repertorio sinfónico”. En CUADRADO MÉNDEZ, Francisco José, MAHEDERO RUIZ, Benito y SÁNCHEZ LÓPEZ, Israel (coords.), En torno a Manuel Castillo. Granada, Libargo, 2016, págs. 229-265; “La música en la corte de los Montpensier”. En LUENGO GUTIÉRREZ, Pedro (coord.), Espacios sonoros en Sevilla: 1600-1936. Granada, CDMA, 2020; GIL RODRÍGUEZ, Auxiliadora. Paisaje musical de la Sevilla decimonónica a través de Eugenio Gómez Carrión (1786-1871): instituciones, repertorios y músicos. Sevilla, Diputación de Sevilla, 2022.

JUAN RONDA MOLINA

Valencia, 1971. Realizó sus estudios en los conservatorios de Valencia y Sevilla, obteniendo en éste el título de profesor superior de flauta.

Como profesor ha impartido varios cursos de perfeccionamiento y colabora asiduamente con la Orquesta Joven de Andalucía. Asimismo, ha sido profesor de la Academia de Estudios Orquestales Baremboim-said y del Máster en Interpretación de la Universidad Internacional de Andalucía durante varias ediciones, impartiendo tanto clases de flauta como de música de cámara.

Ha interpretado como solista el “Concierto para flauta y orquesta en Sol Mayor” KV. 313, el “Concierto para flauta y arpa en Do Mayor” KV. 299, “Concierto para vientos, arpa y orquesta” de Paul Hindemith y el “Dúo Brillante” sobre Guillermo Tell para flauta y oboe, todos ellos con la Real Orquesta Sinfónica de Sevilla.

Actualmente es flauta solista de la Real Orquesta Sinfónica de Sevilla, puesto que ocupa desde la fundación de dicha orquesta en 1991.